
Garder les profits et socialiser les pertes, c’est le rêve de tout financier. Comme les Etats ont déjà donné, qu’ils n’ont plus de sous et qu’ils veulent en priorité rembourser leurs dettes,
les lobbyistes doivent avancer masqués.
Il n’est plus question, selon eux, de demander aux Etats de boucher des trous (consécutifs à des erreurs de jugement imputables aux professionnels) mais de parer à
l’imprévu (que des professionnels, même avisés, ne sont pas censés prendre en compte).
In fine,
le contribuable payera ! Mais «
qu’en termes galants, ces choses là sont dites ».
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