Afrique
France
Monde arabe
Politique

Les autorités politiques et militaires algériennes sont loin d’être composées exclusivement
de doux humanistes amis de la France. Il n’empêche que, dans les circonstances présentes,
ils sont nos alliés et, comme l’a dit François Hollande, doivent le rester.
Il n’est pas avéré que
les tragiques évènements d’In Amenas aient un lien direct avec les opérations au Mali. Mais il est certain que les autorités algériennes considèrent les djihadistes maliens comme une grave menace et que leurs services de renseignement en Afrique de l’Ouest sont, depuis un certain temps, à nos côtés.
Ajoutons que
si une révolution, sur le modèle syrien, éclatait en Algérie et que des djihadistes y devenaient une force conséquente, une frange de la communauté algérienne résidant en France sympathiserait avec eux. Les risques d’attentats seraient sensiblement accrus.
Commentaires
Ajouter un commentaire