L’Algérie est mûre pour l’après Bouteflika
On dit des Algériens qu’ils ont le cuir bien tanné. Mais la candidature d’un Bouteflika fantôme – affaibli par un accident vasculaire cérébral (AVC), il ne s’est pas adressé au peuple algérien depuis des mois – pour un 4 ème mandat ne passe pas. Tout porte à croire que, même élu le 17 avril prochain, Bouteflika sera un président mal élu et en sursis. Plusieurs signaux plaident dans ce sens. D’abord, on assiste au "réveil" des gens ordinaires comme dirait Alain de Vulpian. Partout des gens manifestent pour dire Barakat (ça suffit !). C’est la première fois depuis bien longtemps que les