En Angleterre, en Californie, en Suède, et sans doute aussi ailleurs, des groupes de maisons ou d’immeubles ont été construits avec des matériaux qui permettent de diminuer une partie des gaspillages d’énergie. De plus, l’énergie consommée par ces « environnementalistes pratiquants » est produite par des panneaux solaires ou par des mini éoliennes. Avec quelques années de recul, le résultat semble prometteur : au prix actuel du kilowatt/h, les surcoûts de construction s’amortissent en quelques années.
Cela tend à montrer que le système de production centralisé peut être concurrencé même si aujourd’hui le prix de l’électricité produite à partir de sources renouvelables (éolien, solaire, courants maritimes, etc.) est encore généralement supérieur à celui des centrales thermiques ou nucléaires. La technologie avance et la production décentralisée devrait bientôt permettre à des producteurs locaux de former des réseaux de « coopératives énergétiques » capables de dépasser le cadre de l’autoproduction.
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Membre du club,j'anime une association mobilisée par les aspects Energie du Développement Territorial Durable, en Normandie.
L'approche décentralisée présentée le 7 avril constitue une piste à explorer
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