« Nous savons qu’à travers les âges, le capitalisme ne cesse de changer de visage », dit en préambule Jean-François Gayraud, commissaire divisionnaire de la police nationale. Il estime cependant que, depuis le début des années 80, il y a eu une forme de "mutation" radicale.
Le capitalisme a pris depuis, à ses yeux, trois caractéristiques qu’il juge "intéressantes". « Il est devenu excessivement mondialisé, dérégulé et financiarisé », dit-il. Pour le criminologue qu’il est, « ces caractéristiques sont passionnantes », affirme-t-il. Pourquoi ?
Voir :
3 mn de vigilance avec Jean-François Gayraud
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