Puissent assez de politiques s’ouvrir aux réalités du terrain, écouter, comprendre et se muer en hommes d’Etat
C’était il y a quatre ans. J’avais lu avec passion le manuscrit que m’avait passé en confiance Françoise Frisch. Jean-Paul Delevoye, alors président du Conseil économique, social et environnemental (CESE), n’hésitait pas à cautionner l’ouvrage de Françoise Frisch[1] : « une analyse clairvoyante de...